Deux rendez-vous à ne pas manquer

La Semaine européenne de la mobilité, puis la Semaine européenne de la réduction des déchets seront relayées en Nouvelle-Calédonie, sous l’égide de l’ADEME, du 16 au 22 septembre pour la première et du 18 au 26 novembre pour la seconde. L’occasion pour les entreprises de sensibiliser leurs salariés, de faire évoluer leurs habitudes ou encore de poursuivre leur démarche RSE.

Lancée en 2002 par la Commission européenne, la Semaine européenne de la mobilité est organisée en Nouvelle-Calédonie depuis 2015. « C’est le comité de l’écomobilité composé d’une trentaine de partenaires – entreprises, associations, institutions, etc. – qui construit cet événement, avec l’accompagnement de la représentation territoriale de l’ADEME, notamment au plan de la communication », explique Anaïs Jouneau, de l’ADEME.

Cette année encore, des actions seront organisées sur l’ensemble du territoire à destination du grand public (ciné-débats, ateliers, conférences, etc.) et des salariés des structures partenaires (formations à l’écoconduite, ateliers de remise en selle, etc.). Le point d’orgue aura lieu le 22 septembre, date de la Journée mondiale sans voiture. « Toutes les entreprises qui souhaitent rejoindre cet élan sont les bienvenues, souligne la chargée de mission. Les initiatives doivent nous être transmises afin d’être centralisées puis médiatisées. »

Deux semaines pour tester et s’engager

Initiée également par la Commission européenne, en 2009, et relayée en Nouvelle-Calédonie depuis 2013, la Semaine européenne de la réduction des déchets vise à sensibiliser l’ensemble des publics à cette question particulièrement prégnante pour les iliens. L’évènement, également coordonné par l’Ademe, fera un focus cette année sur les emballages. « Tous les porteurs de projet, quel que soit leur profil, peuvent participer en déposant leurs idées d’actions – sur le thème des emballages ou allant dans le sens de la réduction des déchets – sur une plateforme numérique disponible prochainement, indique Idane Salinas, de l’Ademe. Cette démarche permet de labelliser les actions, puis de les valoriser via la communication qui sera déployée. » Les initiatives les plus exemplaires bénéficieront d’une mise en avant spécifique.

Les bonnes raisons de s’engager

« Tout le monde peut participer, et notamment les entreprises, rappellent les deux chargées de mission. Pour expérimenter et ancrer de nouvelles habitudes, afficher leur engagement, favoriser la cohésion des équipes, montrer l’exemple, rencontrer d’autres structures qui se mobilisent, améliorer la qualité de vie au travail : il y a mille et une raisons de s’associer à l’une ou l’autre de ces semaines, ou même aux deux ! ». Entreprises, ne tardez pas à inscrire vos projets dans l’objectif de ces grands rendez-vous, pour faire adhérer vos collaborateurs et structurer vos actions !